Mon avis sur "La Nuit Éternelle (3)"
Résumé
Une nuit sans fin s'est abattue sur la Terre depuis l'apocalypse nucléaire déclenchée par le Maître. Les vampires, qui ont proliféré à un rythme vertigineux, ont réduit les humains à l'état de bétail, car, à leurs yeux, seul leur sang a encore de la valeur. Un groupe de survivants résiste encore. Mais Ephraïm Goodweather, leur leader, n'est plus que l'ombre de lui-même : il ne s'est jamais remis de l'enlèvement de son fils et de la liaison entre sa petite amie, Nora, et son allié, Pet. Profitant de son désespoir, le Maître lui propose d'épargner son fils en échange de l'Occido Lumen. Dans ce très ancien manuscrit, préservé au prix du sacrifice du professeur Setrakian, se trouve la clé pour détruire le Maître. Ephraïm fera-t-il passer la vie de son fils avant le salut de l'humanité ? Mené à un rythme infernal, ce dernier volet offre à la trilogie "La lignée" un finale magistral.
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Avis
Et voilà. Après deux ans, je viens de terminer la saga vampirique apocalyptique « La Lignée » de Guillermo Del Toro et Chuck Hogan.
Le dernier tome, « La Nuit Éternelle » se déroule deux ans après la fin du second tome « La Chute ». Il s’est passé beaucoup de choses, les personnages ont beaucoup évolués et la situation est encore pire (en défaveur des humains bien entendu).
Le Maître, sur qui nous apprendrons tout ce qui faut savoir grâce à des choses insoupçonnées, a prit le pouvoir sur l’ensemble de la planète. Il voit à travers les yeux de tous ses « enfants », tous ses vampires répartis sur la terre. Les humains sont cloîtrés dans des sortes de « camp de concentration » version vampire. A quoi servent-ils ? A nourrir les vampires. Tous les 5 jours pour les B+, ils sont piqués puis ponctionnés d’un demi-litre de sang.
La situation pour Ephraïm Goodweather est terrible. Il a sombré dans le désespoir. Il est devenu un drogué et a rechuté dans l’alcoolisme. Une seule chose l’obsède : son fils. Le petit Zackary avait 11 ans lorsque le Maître l’a enlevé dans le tome 2. Aujourd’hui, Zack a 13 ans, il devient un ado et il vit avec le Maître.
Ce que Eph ne se doute pas, c’est l’influence négative de la Créature sur son fils, qui pour une raison inconnue (pendant quelques « chapitres ») nous ait inconnue.
Le combat acharné d’Eph, Nora, Fet et Gus est incroyable. Et puis il y a Quinlan qui est un personnage très particulier, à moitié vampire, à moitié humain. Né d’une femme, transformé dans le ventre de sa mère. Etrangement cela nous rappelle un peu Blade… à ça je ne dirais qu’une chose : Qui a réalisé Blade ???? Guillermo Del Toro oui !
Ceci dit, le personnage trouve un intérêt non négligeable puisqu’il guide et aide nos protagonistes durant une bonne partie du troisième roman. C’est une personnalité complexe et intelligente. Sa façon de s’exprimer est d’autant plus intéressante qu’il paraît omniscient.
Nora et Fet ont aussi beaucoup changé pendant ces deux années. Quant au petit Zack…. Je ne dirais qu’une chose : j’ai eu envie de lui foutre ma main dans sa tronche plus d’une fois. Il devient si … je ne dirais rien.
Ah oui ! Gros soucis aussi. J’ai trouvé une très grosse injustice envers Ephraïm de la part de Gus et parfois de Fet et Nora. J’avoue que pendant la lecture j’ai eu ce sentiment qui m’a littéralement chamboulé.
Bref ! (non non rien à voir avec l’émission de Canal+). Le style du roman est toujours plaisant. On est une fois de plus pris dans l’histoire et à mesure que les pages défilent on ne peut s’empêcher de ressentir une légère (d’abord puis très puissante) tension s’insinuer en nous. A mesure que le plan du Maître se précise et que la rébellion se met en route pour le plan final, j’ai été littéralement happé dans l’histoire sans possibilité de m’arrêter.
C’est simple, je n’ai que peu de temps pour lire ces temps ci, et pourtant, il ne m’aura fallu qu’une nuit et deux heures cette après midi pour le lire. Je l’ai beaucoup aimé (plus que le second tome d’ailleurs que j’avais trouvé un peu mou.)
La façon dont est amenée cette histoire (sur les trois tomes s’entend !) est très bien mené. A aucun moment on se dit « non là c’est tiré par les cheveux ! ». Je peux le dire maintenant que la saga est terminée, c’est un scénario catastrophe que je trouve très plausible. Si jamais, cela pourrait arriver.
En revanche, petit bémol. J’ai trouvé la fin assez manichéenne. Mais pas de Happy End. Et c’est, c’est super !
Ceci dit, je recommande fortement cette saga ! Du vampirisme dégueulasse mais bien !
Le dernier tome, « La Nuit Éternelle » se déroule deux ans après la fin du second tome « La Chute ». Il s’est passé beaucoup de choses, les personnages ont beaucoup évolués et la situation est encore pire (en défaveur des humains bien entendu).
Le Maître, sur qui nous apprendrons tout ce qui faut savoir grâce à des choses insoupçonnées, a prit le pouvoir sur l’ensemble de la planète. Il voit à travers les yeux de tous ses « enfants », tous ses vampires répartis sur la terre. Les humains sont cloîtrés dans des sortes de « camp de concentration » version vampire. A quoi servent-ils ? A nourrir les vampires. Tous les 5 jours pour les B+, ils sont piqués puis ponctionnés d’un demi-litre de sang.
La situation pour Ephraïm Goodweather est terrible. Il a sombré dans le désespoir. Il est devenu un drogué et a rechuté dans l’alcoolisme. Une seule chose l’obsède : son fils. Le petit Zackary avait 11 ans lorsque le Maître l’a enlevé dans le tome 2. Aujourd’hui, Zack a 13 ans, il devient un ado et il vit avec le Maître.
Ce que Eph ne se doute pas, c’est l’influence négative de la Créature sur son fils, qui pour une raison inconnue (pendant quelques « chapitres ») nous ait inconnue.
Le combat acharné d’Eph, Nora, Fet et Gus est incroyable. Et puis il y a Quinlan qui est un personnage très particulier, à moitié vampire, à moitié humain. Né d’une femme, transformé dans le ventre de sa mère. Etrangement cela nous rappelle un peu Blade… à ça je ne dirais qu’une chose : Qui a réalisé Blade ???? Guillermo Del Toro oui !
Ceci dit, le personnage trouve un intérêt non négligeable puisqu’il guide et aide nos protagonistes durant une bonne partie du troisième roman. C’est une personnalité complexe et intelligente. Sa façon de s’exprimer est d’autant plus intéressante qu’il paraît omniscient.
Nora et Fet ont aussi beaucoup changé pendant ces deux années. Quant au petit Zack…. Je ne dirais qu’une chose : j’ai eu envie de lui foutre ma main dans sa tronche plus d’une fois. Il devient si … je ne dirais rien.
Ah oui ! Gros soucis aussi. J’ai trouvé une très grosse injustice envers Ephraïm de la part de Gus et parfois de Fet et Nora. J’avoue que pendant la lecture j’ai eu ce sentiment qui m’a littéralement chamboulé.
Bref ! (non non rien à voir avec l’émission de Canal+). Le style du roman est toujours plaisant. On est une fois de plus pris dans l’histoire et à mesure que les pages défilent on ne peut s’empêcher de ressentir une légère (d’abord puis très puissante) tension s’insinuer en nous. A mesure que le plan du Maître se précise et que la rébellion se met en route pour le plan final, j’ai été littéralement happé dans l’histoire sans possibilité de m’arrêter.
C’est simple, je n’ai que peu de temps pour lire ces temps ci, et pourtant, il ne m’aura fallu qu’une nuit et deux heures cette après midi pour le lire. Je l’ai beaucoup aimé (plus que le second tome d’ailleurs que j’avais trouvé un peu mou.)
La façon dont est amenée cette histoire (sur les trois tomes s’entend !) est très bien mené. A aucun moment on se dit « non là c’est tiré par les cheveux ! ». Je peux le dire maintenant que la saga est terminée, c’est un scénario catastrophe que je trouve très plausible. Si jamais, cela pourrait arriver.
En revanche, petit bémol. J’ai trouvé la fin assez manichéenne. Mais pas de Happy End. Et c’est, c’est super !
Ceci dit, je recommande fortement cette saga ! Du vampirisme dégueulasse mais bien !
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